Michel et son cultissime canapé rouge reçoivent Dominique Besnehard, et autour d’eux: Mathieu MADENIAN, Anne ROUMANOFF, Chantal LADESOU, Francis HUSTER, Alexandre ARCADY, Pascal ELBE, Syrus SHAHIDI.

• DOMINIQUE BESNEHARD

Son livre de souvenirs « Casino d’hiver » écrit avec Jean-Pierre Lavoignat (ancien patron de Première et de Studio magazine) est aux éditions Plon.

NOTE DE L’EDITEUR
« Dominique Besnehard fêtera ses 60 ans début février 2014. A cette occasion, il nous livre l’histoire d’amour qu’il vit depuis toujours avec ces êtres étranges et fascinants du monde du spectacle. Entre confidences et anecdotes, ombres et lumières.

C’est au casino d’Houlgate, en Normandie, dans les années 60, que tout a commencé. C’est là que Dominique Besnehard a découvert le cinéma et les actrices. C’est à cette époque qu’il est tombé fou d’amour, et pour toujours, de Sylvie Vartan et de Marlène Jobert, dont il est devenu l’ami et l’agent. C’est lui qui a découvert quelques belles inconnues nommées Juliette Binoche ou Béatrice Dalle et défendu ensuite les intérêts de nombreuses stars : Anouk Aimée, Yvan Attal, Nathalie Baye, Michel Blanc, Alain Chabat, Christophe Lambert, Sophie Marceau, Jeanne Moreau, Line Renaud, Pierre Richard ou Emmanuelle Seigner.
C’est lui encore, par son improbable « incursion en politique », qui fut le soutien inconditionnel de Ségolène Royal. Une affaire douloureuse dont il parle avec une grande franchise et beaucoup d’émotion.
Personnage haut en couleur, homme de coeur, de passion et de fi délité, il a accepté de se confi er sans langue de bois, sans rien cacher de ses interrogations les plus intimes, et de raconter, avec enthousiasme, sincérité et lucidité, quarante ans dans les coulisses et au coeur du cinéma. À la fois dans l’ombre et sur le devant de la scène, voici le récit du parcours atypique d’un boulimique qui vit, depuis toujours, avec ces êtres étranges et fascinants qui hantent le monde du spectacle et notre imaginaire. »

Dominique Besnehard a produit le prochain film de Jean-Michel Ribes qui sortira en septembre prochain, « Brèves de comptoir  », scénario de Jean-Michel Ribes et Jean-Marie Gourio, avec notamment André Dussolier, François Morel, Yolande Moreau et Bruno Solo… entre autres.

• FRANCIS HUSTER

Il joue dans la pièce « Love letters » de l’écrivain contemporain newyorkais Albert Ramsdell Gurney, mise en scène par Benoit Lavigne, avec Cristiana Reali, au THEATRE ANTOINE à 19h pour encore quelques jours, jusqu’au 30 avril.

Joué précédemment par Anouk Aime notamment en couple avec Philippe Noiret, Jacques Weber, Depardieu, Alain Delon, Bruno Crémer, Jean-Louis Trintignant, elle a également été jouée par Agathe Natanson et Jean-Pierre Marielle. Et aux Etats-Unis, on a pu la voir avec Alec Baldwinn, Mel Gibson, Larry Hagmann, Elisabeth Taylor, entre autres…
Une pièce traduite dans une trentaine de langues et jouée dans le monde entier.

Deux personnages : Andy et Melissa s’échangent des lettres… Ils passent en revue 60 années, grâce aux lettres et cartes qu’ils se sont écrites et envoyées tout au long de leurs vies…

Francis Huster joue aussi au THEATRE RIVE-GAUCHE, en alternance :

– « La Trahison d’Einstein », une pièce d’Eric-Emmanuel Schmitt, mise en scène de Steve Suissa avec Jean-Claude Dreyfus.
Aux Etats-Unis, dans le New Jersey, en 1934, Albert Einstein (F.Huster), 55 ans, sympathise avec un vagabond (Jean-Claude Dreyfus) en rupture avec la société…
A l’époque Einstein est déjà une célébrité mondiale (Prix Nobel en 1921 et il a déjà publié ses théories de la relativité).

– « L’affrontement », une pièce de Bill Davis, mise en scène de Steve Suissa, avec Davy Sardou.
Aux Etats-Unis, l’affrontement entre deux « hommes de dieu : Le père Tim Farley (Francis Huster) et le séminariste Mark Dolson (Davy Sardou).
Afin de « dompter » le jeune séminariste, l’évêque le confie aux bons soins du Père Tim. En effet, le séminariste Mark a des idées qui ne sont pas celles de l’Eglise : il est pour le mariage des prêtres et il estime que 2 personnes du même sexe peuvent s’aimer… Le Père Tim va notamment essayer de lui apprendre à rédiger des sermons qui ne soient pas scandaleux ! 
En fait, on assistera à un affrontement sur le rôle du prêtre aujourd’hui, et sur la nécessité d’une « église nouvelle »…

• ALEXANDRE ARCADY, PASCAL ELBE ET SYRUS SHAHIDI

Alexandre Arcady vient de réaliser « 24 jours, la vérité sur l’affaire Ilan Halimi », avec Syrus Shahidi (Ilan Halimi), Zabou Breitman (Ruth Halimi) , Pascal Elbé (le papa Didier), Tony Harrisson (Fofana), Jacques Gamblin (le commissaire divisionnaire), Eric Caravaca (un flic), Sylvie Testud (la psychologue négociatrice de la police), et aussi Olivier Sitruk, Matthieu Boujenah, Olivier Barthélémy, Alka Balbir…

Sortie mercredi 30 Avril.

La 1^ère image du film : Ruth Halimi, la maman explique « Cette histoire est arrivée à moi mais elle aurait pu arriver à d’autres. Ma vie a basculé ».
Ilan Halimi, 24 ans, travaille dans une boutique de téléphonie du Boulevard Voltaire à Paris. Il est enlevé le 21 janvier 2006…
Auparavant, il avait été séduit par un « appât » c’est-à-dire une jeune fille envoyée par les ravisseurs…

• CHANTAL LADESOU

Elle interprète le sketch « La télé »…

Le  DVD de son spectacle « J’ai l’impression que je vous plais VRAIMENT », sorti en novembre dernier, est toujours disponible.

A partir de fin avril, elle entame série de gala : 29 avril à Avignon, 17 mai à Bar Le Duc, 24 mai Pléneuf Saint-André, 30 mai Tinqueux, 28 juin Berck…

Et à partir du 12 septembre prochain, elle sera de retour au théâtre dans la pièce « Nelson » de Jean-Robert Charier aux côtés d’Armelle, Eric Laugérias et Thierry Samitier entre autres…, au THEÂTRE DE LA PORTE SAINT MARTIN.
Elle y jouera le rôle d’une avocate…

« Comment peut-on lorsqu’on est une puissante avocate, passionnée par l’argent, la gloire personnelle, la grande cuisine… et la fourrure, se faire passer, le temps d’un dîner, pour la plus aimable des humanistes végétaliennes, passionnée par les petits animaux ? Cela paraît bien complexe, mais c’est pourtant ce que Christine, jeune étudiante en socio, va demander à sa mère Jacqueline, pour tenter de partir en mission humanitaire. La passion soudaine de Jacqueline pour le petit Nelson, lapin nain de son état, suffira-t-elle à faire oublier les activités troubles de notre héroïne ? Comment la famille écolo réagira-t-elle lors de sa confrontation ? »

• ANNE ROUMANOFF

Toujours en TOURNEE avec son spectacle « Rouge-manoff », au CASINO de PARIS les 22 et 23 Mai prochains.

Et son nouveau livre « Normal 1^er, roi des français » est aux éditions de l’Archipel.

NOTE DE L’EDITEUR
« Début mars 2013, face aux scandales alimentaires à répétition, beaucoup de Français se demandent à quelle sauce ils vont être mangés. Anne Roumanoff le leur révèle dans Le Journal du dimanche en publiant ce « Menu hollandais » : 
Hors-d’œuvre de promesses variées et sa flambée d’espoirs.
Fricassée de renoncement accompagnée de sa poêlée de déceptions.
Mimolette de Hollande et sa salade de plaisanteries fines
.
Farandole de résignations arrosée de son coulis de colère et sa boule d’amertume.
Un an après, ce menu est toujours à la carte et l’ancienne élève de Sciences Po, comme elle le fait depuis 2009, continue de publier ses chroniques politiques – et néanmoins drolatiques – dans les colonnes de l’hebdomadaire dominical. Elle a rassemblé les meilleures dans ce livre dont François Hollande, ses femmes et son gouvernement sont les involontaires vedettes. Au hasard des pages, quelques titres : « Ségolène et le pot au lait », « Normal, vous avez dit normal ? », « La guerre des tweets », « L’agenda de François H. », « Moi, président des intempéries »… »

• MATHIEU MADENIAN

Il est toujours en TOURNEE…

• LES LIVRES PRESENTES PAR MICHEL

« Brigitte Bardot, la femme la plus belle et la plus scandaleuse du monde » d’Yves Bigot aux éditions Don Quichotte.

NOTE DE L’EDITEUR
« « Le destin l’a mise à la place exacte où le rêve et la réalité se confondent. Sa beauté, son talent sont incontestables, mais elle possède autre chose d’inconnu qui attire les idolâtres d’un âge privé des dieux. »
BB, c’est un mythe. À travers elle, Et Dieu créa la femme. Elle fut au cœur de tant de passions, de haines, de controverses, de désirs, de tensions, d’enjeux et de fantasmes. « Elle tenterait même un saint », écrivait Simone de Beauvoir. À une époque où c’est inhabituel, elle porte des chemises d’homme où des vêtements sexy qui laissent voir sa chair. Change d’amant comme de chemise. Et devient l’objet d’un fétichisme inédit. Son style est ce mélange irréfutable de plastique et de tempérament, de simplicité érigée en art. En combinant les rôles d’ingénue et de femme fatale, Brigitte, symbole sexuel ultime des années pop, incarne l’éternel féminin dans toutes ses facettes. Elle est la déesse, fondamentale, primordiale. Immortelle.
Pareil phénomène n’échappe pas aux artistes. Elvis, Dylan, les Beatles, Nougaro, Gainsbourg, Elton John, AC/DC ou Jay Z la célèbrent. Les peintres aussi, de Picasso à Warhol. Et les écrivains, Françoise Sagan, Simone de Beauvoir, Marguerite Duras, Marguerite Yourcenar, Edgar Morin, Barjavel, et Cocteau, qui dira : « Le destin l’a mise à la place exacte où le rêve et la réalité se confondent. Sa beauté, son talent sont incontestables, mais elle possède autre chose d’inconnu qui attire les idolâtres d’un âge privé des dieux. »
Par elle, le Deuxième Sexe nié, caché, soumis, va rétablir son pouvoir initial, irréfutable, celui de la Maternité – laquelle, ironiquement, fut tragique pour la star – et de la Vie, triomphant, croira-t-on tout au long des années 60 et 70, des forces noires de l’humanité, et en tout cas du patriarcat.
Les politiques ne l’impressionnent guère, et elle ne se gênera jamais pour les interpeller, avec un aplomb, une conscience de sa propre place dans la société et dans son histoire tout à fait admirables. Mais BB appartient à une ère précédente, cet univers amidonné, coincé et strict de l’après-guerre, et les conventions du Vieux Monde belliqueux dont est pétrie la star – parfois brutale, conservatrice souvent, intolérante certainement – l’empêcheront d’aller au bout des rêves immenses qu’elle avait pourtant initiés. »

« La véritable Marie-France Pisier » de Sophie Grassin et Marie-Elisabeth Rouchy aux éditions Pygmalion.

« Qu’attendent les singes » de Yasmina Khadra aux éditionbs Julliard.

NOTE DE L’EDITEUR
« Merveilleusement maquillée, les cheveux constellés de paillettes, les mains rougies au henné avec des motifs berbères jusqu’aux poignets, on dirait que le drame l’a cueillie au beau milieu d’une noce.« Yasmina Khadra revient à ses premières amours, l’Algérie d’aujourd’hui, et dresse, avec Qu’attendent les singes, un portrait sombre et déliquescent de son pays.

Dans ce décor de rêve, tandis que le monde s’éveille à ses propres paradoxes, la Belle au bois dormant a rompu avec les contes.
Elle est là, et c’est tout.
Fascinante et effroyable à la fois.
Telle une offrande sacrificielle… »

Une jeune étudiante est découverte assassinée dans la forêt de Baïnem, près d’Alger. Une femme, Nora Bilal, est chargée de mener l’enquête, loin de se douter que sa droiture est un danger mortel dans un pays livré aux requins en eaux troubles.
Qu’attendent les singes est un voyage à travers l’Algérie d’aujourd’hui ou le Mal et le Bien se sentent à l’étroit dans la diablerie naturelle des hommes. »

Retrouvez d’autres informations, après la diffusion de l’émission, sur  France2.fr