Michel et son cultissime canapé rouge reçoivent Michèle Torr, et autour d’eux: Romain VIDAL (son fils), Didier BARBELIVIEN, VIANNEY, Charles AZNAVOUR, Jean-François GEROLD (Le Condor), Mathilde SEIGNER, Le Professeur Jean PELLETIER, Pierre CROUX, Edouard LOUBET, David LELAIT-HELO, Gilles DREU, Dominique BESNEHARD.
- MICHELE TORR
Elle fête des 50 ans de carrière…
Elle chante « J’en appelle à la tendresse », une ancienne chanson signée Jean Albertini et Didier Barbelivien, un de ses plus grands succès ; ainsi que « Je ne veux chanter que l’amour», une chanson signée Guy Mattéoni.
Son nouvel album « Diva », est sorti le mois dernier avec 11 titres inédits composé ou écrit par Charles Aznavour (2 chansons), George Chelon, Alice Dona, Charles Dumont, David Lelait, Patrick Loiseau, Alain Turban, Guy Mattéoni… entre autres. Arrangements de Guy Mattéoni.
Elle fera une TOURNEE d’été en Provence : Berre, Ollioules, Contes, Sénas, Saint-Brieuc, Salo de Provence, Sanary…
Le TRIANON de Paris le 18 octobre…
Une TOURNEE des églises en décembre…
Le PALAIS DES CONGRES de Paris le 31 janvier 2016…
Plus d’informations sur : http://www.micheletorr.com/
- PIERRE CROUX
Il a publié deux « livres dessinés » qui raconte en 2 tomes « la vie d’un village de Provence au sortir de la Guerre » : « Tout un fromage », « Rebelote »…
Il y raconte, Aix en Provence, le Lubéron, la rentrée des classes, les vendanges, la chasse, les réveillons provençaux (avec les 13 desserts).
- LE GROUPE « LE CONDOR »
Il chante et danse « Le rigoton excentrique » puis avec Michèle Torr « Coupo Santo ».
Ce groupe provençal fondé par Jean-François Gerold en 2000. Ils interprètent la musique traditionnelle provençal tout en la « réinventant » pour la moderniser. Ils jouent du tambourin et du galoubet provençal mais aussi à l’occasion de la cornemuse écossaise, du Djembé africain ou du hautbois catalan.
Ils se produiront THEATRE ANTIQUE D’ORANGE le 14 août prochain.
Plus d’informations sur : http://www.le-condor.fr/
- DIDIER BARBELIVIEN
L’album « Marie-Antoinette et le chevalier de Maison-Rouge » est toujours dans les bacs : 33 chansons qui racontent les derniers mois tragiques de la reine Marie-Antoinette et les tentatives d’évasion qui ont failli la sauver ! Avec Kareen Anton, Mickael Miro, Slimane, Valentin Marceau, Aurore Delplace…
Plus d’informations sur : http://www.barbelivien.com/
- CHARLES AZNAVOUR
Son album « Encores » est toujours dans les bacs.
Il est de retour sur scène après 4 ans d’absence à Paris, au PALAIS DES SPORTS du 15 au 27 septembre prochain.
Plus d’informations sur : http://www.charlesaznavour.com/
- L’EXPOSITION JEAN-PAUL GAULTIER
Jusqu’au 3 août prochain, au GRAND PALAIS…
40 ans de création, 175 ensembles présentés… L’histoire de ses créations de 1976 à aujourd’hui…
Cette exposition a déjà été présentée dans 9 capitales.
Le catalogue de l’exposition est disponible.
- MATHILDE SEIGNER
Elle joue dans le film « Une mère » de Christine Carrière avec aussi Kacey Mottet-Klein, Pier-Francesco Favino, Salomé Dewaels, Fiona Hemout, Jenny Clève, Catheinre Salée, Eloïse Charretier, Charlotte Talpaert, Simon Ferrante…
Sortie mercredi 24 juin
Le thème : un sujet tabou, la violence que certaines mères subissent de la part de leurs enfants.
L’histoire : de nos jours, en Haute-Normandie, Marie (Mathilde Seigner) vit seule avec son fils de 16 ans (Kacey Mottet-Klein)… Elle se bat pour « rester debout » malgré les difficultés et les soucis que son fils lui cause. Elle vit de petits boulots. Il s’enfonce régulièrement dans des mauvais coups… C’est un adolescent apparemment irrécupérable et violent…
- DOMINIQUE BESNEHARD
Il a produit le film « Je suis un soldat », un film de Laurent Larivière, avec Louise Bourgoin et Jean-Hugues Anglade, présenté à Cannes dans section « Un certain regard ».
Par ailleurs, il préside toujours le Festival du Film Francophone D’Angoulême en août prochain.
Plus d’informations sur : http://www.filmfrancophone.fr/
- ROMAIN VIDAL & LE PROFESSEUR JEAN PELLETIER
Romain Vidal est le fils de Michèle torr atteint de la sclérose en plaques et le Professeur Pelletier est chef du service de neurologie de l’hôpital La Timone à Marseille…
Le 28 mai dernier s’est déroulée la journée mondiale de la sclérose en plaques : la sclérose en plaque est une maladie auto-immune qui touche 80 00 personnes en France et 2 millions dans le monde… Elle s’attaque à la gaine de myéline qui entoure les « axones des neurones » dans le cerveau et la moelle épinière… Les troubles neurologiques qui s’en suivent arrivent « par poussées » et peuvent être très invalidants…
Pour le professeur Pelletier « on entre dans une nouvelle ère thérapeutique ». Il y a 15 ans, on ne disposait d’aucun médicament… Et aujourd’hui on dispose d’une dizaine de molécules différentes. De plus, des nouvelles techniques d’IRM ont été déterminées pour « une meilleure compréhension de la sclérose en plaques ». En effet, on a identifié à l’IRM une accumulation anormale de sodium dans le cerveau… Cette procédure d’IRM permet de cartographier de manière non invasive la distribution en sodium dans le cerveau humain… A terme, cette technique d’IRM pourrait permettre de tester des médicaments potentiels protégeant les neurones, et on comprendra mieux les phénomènes intervenant dans la sclérose en plaques et les autres maladies neuro-dégénératives.
Romain Vidal a fondé l’association « Sclérose en plaque du Pays d’Aix », afin de lever des fonds pour la recherche…
Il organise le 3 juillet à l’ENCLOS DE LA CHARITE à PERTUIS (le village natale de Michèle Torr) un grand gala avec Michèle Torr, Dave, Christian Delagrange, Henri Giraud, et Stella Mateoni. Il s’agit du 3è gala de ce genre.
L’argent recueilli ira à la recherche contre cette maladie.
Pour faire un don, et pour plus d’informations, cliquez ici : http://www.sep-ensemble.fr/
- DAVID LELAIT-HELO
Il a déjà signé plusieurs chansons pour Michel Torr, dont une dans le dernier album.
Le public a particulièrement apprécié le roman « Poussière d’hommes » et « C’était en mai un samedi » un récit dans lequel il imaginait des deux dernières heures de la vie de Dalida…
Son nouveau roman s’intitule « D’entre les pierres » : Nous sommes en octobre 2014, à Buenos-Aires… C’est une maison qui parle : une des 1ères phrases : « Je ne suis pas un homme, pas une femme. Pas un enfant non plus. Ni un animal. Je suis une maison. Oui, une maison ».
La maison dit : « Vous avez des yeux, j’ai des fenêtres. Vous avez des rides, j’ai des fissures. Vous avez des secrets enfouis, j’ai des caves ». Cette maison est située au 38 de la Calle del Primer Dia (« la rue du 1er jour »), construite en 1861. Elle sait qu’on va bientôt la détruire car elle a 150 ans. Elle dit : « Pourtant je présente bien ; j’aurais encore pu faire illusion ». Cette maison appartient à une argentine, Soledad Salvador. La maison va raconter la vie de Soledad de 1952 à nos jours…
- VIANNEY
Il chante « Pas là », extrait de son 1er album « Idées Blanches » sorti en octobre dernier.
En TOURNEE jusqu’en décembre, il sera aux SOLIDAYS à Paris Dimanche 28 juin.
- GILLES DREU
Il chante « Quatre fois vingt ans», extrait de son nouvel album sorti en octobre dernier, qui porte le titre de cette chanson… Paroles et musique de Didier Barbelivien.
On remarque dans son album, au-delà de la reprise de son tube « Alouette, alouette », adaptation de pierre Delanoë, les signatures prestigieuses de : François de Roubaix, Michel Jourdan, Jean-Pierre Bourtayre, Pierre Delanoé, Alain Goraguer, Alice Dona, Pierre Delanoé, Vline Buggy, Eric Charden, Boris Bergman, Jean-Michel Rivat, Franck Thomas.
Il sera en concert le 24 juin à Saint-Laurent les Bains, et le 8 juillet à Lablachère.
Plus d’informations sur : http://www.gillesdreu.fr/
- LE CHEF EDOUARD LOUBET
Restaurateur à Bonnieux, dans le Vaucluse, il a publié le livre « Le Cuisinier Provençal : Les 100 Recettes Incontournables » aux éditions Skira.
- LIVRES PRESENTÉS PAR MICHEL
« Diagonale eurasienne, à vélo de l’Australie à l’Europe» de Benjamin Valverde aux éditions Transboréal.
NOTE DE L’EDITEUR
« Pour ravir 26 000 kilomètres à trois continents, Benjamin Valverde s’est muni du minimum : un vélo et des cartes. En deux années de voyage, sa compagne Émilie et lui ont pédalé à travers les déserts australiens, l’Asie du Sud-Est puis les hauts plateaux tibétains et pamiris, qui débouchent sur les steppes d’Asie centrale, avant de regagner l’Europe par le Caucase. Le voyageur croyait savoir ce qu’il allait chercher – l’inconnu, ses limites autant que ses rêves d’enfant, l’aventure en somme. Il a trouvé bien plus : le spectacle quotidien qui se joue sur terre et la liberté que procure un horizon sans cesse renouvelé. Il a dépendu des plus modestes et dîné à la table des rois, ravalé ses peines, hurlé de rage, pleuré de bonheur et débusqué l’humilité qu’enseigne l’errance. Pourtant, alors qu’il se pensait démuni et vulnérable, il ne s’est jamais senti aussi fort, apprenant que les routes les plus exigeantes tiennent toujours leurs promesses d’émerveillement et de dépassement. »
« Vas-y Robic », de Jean-Paul Ollivier aux éditions Palantines.
NOTE DE L’EDITEUR
« La guerre venait de s’achever lorsque, soudain, un lutin issu de la lande bretonne redonna du rêve au pays brisé. Il gagnait le Tour de France cycliste, épreuve chérie des Français. Le pays tout entier se prit à crier « vas-y Robic » en découvrant un gnome au visage tavelé, nanti d’un casque retenu par des oreilles décollées qui le rendait plus énigmatique encore. Le personnage de Jean Robic commençait à se bâtir une légende. Peu à peu, il exerçait sur le public une certaine fascination car il existait quelque chose de surnaturel en lui, que l’on retrouvait dans son énergie, son courage physique et moral. Il était obstiné, cabochard. Jamais il n’illustra mieux l’image du Breton têtu.
« Vas-y Robic ! »
Cet encouragement affectueux, il l’entendit toute sa vie. Tous ceux de ma génération, comme ceux de la précédente, ont crié « Vas-y Robic ! » en apercevant n’importe quel quidam courbé sur un vélo. C’était un véritable cri de guerre et le Breton me raconta un jour, lors d’un reportage, que, gravissant en compétition une côte de la vallée
de Chevreuse et enregistrant les « Vas-y Robic ! » qui le portaient comme une immense vague de fond, il entendit un seul « Vas-y Bobet ! » Il pensa alors : « Jean, ton étoile pâlit ! » Le fait que tout coureur cycliste ait pu se trouver, dans l’esprit populaire, identifié à Jean Robic, suffit à prouver l’extraordinaire célébrité de ce petit Armoricain de Radenac.