Michel et son cultissime canapé rouge reçoivent Mika, et autour d’eux: Eric CANTONA, Grégory GADEBOIS, Claude SERILLON, Gérard LANVIN, Alice TAGLIONI, Jalil LESPERT, Catherine FROT, Anne ROUMANOFF, BEN & Arnaud TSAMERE.

  • MIKA

Son nouvel album « No Place In Heaven » est sorti en juin dernier…

Actuellement en tournée  des ZENITHS de France, il sera le 19 septembre au ZENITH DE PARIS.

mika

Plus d’informations sur : http://mikasounds.com/

  • GERARD LANVIN, JALIL LESPERT, ALICE TAGLIONI

Ils jouent dans le film « Premiers Crus », 2ème film de Jérôme le Maire, avec aussi Laura Smet, Lannick Gautry, Roger Dumas, Philippe Laudenbach… Produit par Alain Terzian  et musique de Jean-Claude Petit.

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Sortie le 23 septembre

Le thème : l’histoire d’une réconciliation entre un père et son fils… Et d’un homme avec « lui-même ». Une histoire aussi de ce qu’est « la transmission », « Le socle de la famille », « Le poids de la terre », le « vivre ensemble »…

L’histoire : Charlie (Jalil Lespert), œnologue, a quitté la Bourgogne et le vignoble pour réussir à Paris…Son père 5gérard Lanvin), vigneron en Côte d’Or, est en train de mettre en faillite le vignoble familial… Charlie est appelé au secours…

  • CLAUDE SERILLON

Son essai  « Dire du mal » est aux éditions Descartes.

serillon

 Une des 1ères phrases du livre résume bien le propos : « Dire du mal est devenu normal, banal, une obligation compulsive. Sinon, exister est impossible »

D’abord, plusieurs constatations : « Nous marchons désormais la tête penchée sur nos portable » ; « tout le monde a un avis tranché. On répète ce qui est écrit sur les réseaux sociaux » ; « plus le monde devient complexe, plus les analyses se simplifie »…
Et enfin : « nous sommes entré dans l’ère du soupçon ».

NOTE DE L’EDITEUR
« C’est une vague furieuse. Un emportement de mots et d’expressions, une manière de discourir, d’écrire. C’est une façon d’être, violente, vulgaire et systématique. Dire du mal de tout, de rien, des voisins comme des étrangers. Remplir à ras le bord la tuyauterie médiatique, celle des réseaux sociaux comme des télévisions privées ou publiques, des radios comme des blogs, du numérique comme du papier magazine. Depuis quelques années la France connaît, elle aussi, cette rage dans le vocabulaire, le questionnement, les annonces et les titres journalistiques. Les râleurs comme les comiques sont dépassés par cette société vouée à l’immédiat, qui dit les pires choses, se sert des épithètes les plus sommaires, produit commentaires et annonces en continu sur tout ce qui se fait, se bâtit, se décide. Le dénigrement est partout, chaque jour et chacun s’y met à sa mesure contre n’importe quoi, n’importe qui. Dire du mal est devenu normal, banal, une obligation compulsive, sinon, exister est impossible. En politique comme en littérature, dans la vie quotidienne, dans tous nos déplacements. Symptôme d’une grande peur chronique ? Course à l’audience, effet de concurrence sauvage ? Les médias s’amusent cruellement, intouchables et irresponsables. Ils donnent à longueur de jours l’exemple consternant d’une accumulation d’humeurs racoleuses où tout se vaut. Des deux côtés du miroir de la vie publique, j’ai vu se développer de façon irrésistible cette habitude de railler tout, de critiquer, de détruire. Comme si chacun d’entre nous ne se rendait plus compte qu’en disant du mal des autres on dit du mal de soi. »

  • CATHERINE FROT

A partir du 25 septembre, au THEATRE ANTOINE elle sera dans la pièce « Fleur de cactus » de Barillet et Grédy, mis en scène par Michel Fau, avec aussi Michel Fau, Cyrille Eldin, Mathilde Bisson, Wallerand De Normandie, Marie-Hélène Lentini, Frédéric Imberty, Audrey Langle.

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Un rôle tenu Par Sophie Desmarets dans les années 60 et 80 (avec Jean Poiret) et aux Etats-Unis par Lauren Bacall et Ingrid Bergman !

L’histoire : « Des  mensonges, des quiproquos, des portes qui claquent… ». Des personnages s’enfoncent progressivement dans le mensonge, avec une idée forte : « Mentir à sa maitresse n’est jamais une bonne idée »…

Par ailleurs, elle a tourné dans le dernier film de Xavier Giannoli « Marguerite » qui sort le 16 septembre.

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Avec aussi André Marcon, Michel, Christa Théret, Denis Mpunga, Sylvain Dieu-Aide.

Le thème : « La vie, soit on la rêve, soit on l’accomplit »

L’histoire : Dans la Paris des années 20, Marguerite Dumont (Catherine Frot) est un femme très riche, passionnée de chant et d’opéra. Elle a épousé un noble (André Marcon), pour son titre nobiliaire.
Depuis des années, elle chante dans le cercle de ses amis… Mais elle chante affreusement faux et personne n’ose lui dire…Pas même son mari !
Pourquoi ? Car elle est très riche et beaucoup profitent d’elle : tout le monde la flatte et personne ne lui dit la vérité…

  • ERIC CANTONA et GREGORY GADEBOIS

Ils jouent dans la pièce « Victor » du dramaturge français Henry Berstein au THEATRE HEBERTOT depuis le 2 septembre, pour 60 représentations exceptionnelles. Mise en scène de Rachida Brakni avec aussi et Caroline Sihol, Marion Malenfant et Serge Biavan.

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L’histoire : Nous sommes en 1950, à Paris… Victor (Grégory Gadebois)  sort de prison… Il a purgé une peine à la place de son ami Marc (Eric Cantona)… En prison, Victor a été très troublé par les attentions de l’épouse de Marc jouée par Catherine Sihol…
Les thèmes évoqués : La France de l’après-guerre et ses meurtrissures ;  la complexité de l’âme humaine et ses contradictions ;  L’amitié ; Le sens de l’honneur ; L’émancipation de la femme…

  • ARNAUD TSAMERE ET BEN

Arnaud Tsamere tourne toujours son spectacle « Confidences sur pas mal de trucs plus ou moins confidentiels », et il sera aux FOLIES BERGERE du 28 janvier au 6 février 2016.

Ben sera au LUCERNAIRE à partir du 9 Octobre avec son spectacle « Eco-responsable ».

  • ANNE ROUMANOFF 

Elle a passé l’été à L’ALHAMBRA de Paris et y reste jusqu’en janvier prochain, avec son nouveau spectacle « Aimons Nous Les Uns Les Autres ».

Par ailleurs, le 15 octobre, elle publie un nouveau livre : « Best-Of Roumanoff : ses spectacles, ses sketches et ses interventions à la télé… ».

  • LIVRES PRESENTES PAR MICHEL

« Vie privée, vie publique. Un voyeurisme d’état » de Philippe Labi aux éditions First

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NOTE DE L’EDITEUR
« Ils chassent les voix et traquent les électeurs. Elus au suffrage universel, ils font don, toute modestie rentrée, de leur personne à la nation. Ce sont les Chefs de L’Etat ! Souverains Républicains, ils sont l’épicentre de toute la vie politique, et leur vie privée est désormais publique. Parfois, ils en jouent, parfois, ils subissent… Naguère, le discours et les actes l’emportaient quasiment sur l’essentiel. Aujourd’hui, la manière et le style impriment, non pas tout, mais une part non nulle de l’essentiel, marquant durablement les esprits. En quelques années la cinquième République a changé de nature. Le rapport au pouvoir, à son esprit et à son respect, a vacillé. Désormais, le Roi est nu. L’auteur a été témoin de ces mutations, se frottant directement et sans ménagement, comme il le raconte lui-même, aux grands fauves élyséens et à leurs entourages. Il revisite ici les chapitres et secrets de ce grand basculement. Des explications crues de Nicolas Sarkozy aux confessions inédites de son épouse Carla, aux transgressions subies ou voulues de François Hollande, soumis à la prose au vitriol de son ex-compagne, Valérie Trierweiler, il dessine les contours du roman vrai d’une République qui a désacralisé la fonction même du Président, l’affaiblissant durablement. Il interroge les acteurs, proches et témoins de premier plan qui font sauter tous les verrous. Il nous donne à voir ce qui est caché autant qu’il nous interpelle : comment en sommes nous arrivés là ? Quelle est la part de mise en scène, de connivence, de responsabilité et d’instrumentalisation des médias dans ce feuilleton permanent ? Cette ère nouvelle balaye tout. Ce véritable voyeurisme d’Etat consume tous les codes. Jusqu’à quand ? »

« Jean-Louis Trintignant, l’inconformiste » de Vincent Quivy aux éditions du Seuil

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NOTE DE L’EDITEUR
« Et dieu créa la femme, Un homme et une femme, Z, La Controverse de Valladolid, Ceux qui m’aiment prendront le train, Amour … la liste est longue des succès et des chefs d’œuvres de l’acteur. Mais elle ne dit rien de sa vocation première de réalisateur, rien de sa passion pour le théâtre ou la poésie contemporaine, et si peu de choses de l’homme Trintignant. Du « joli garçon » des débuts, partenaire et amant de Brigitte Bardot, aux rôles de méchant, froid, impénétrable où il excelle, de l’amoureux transi au cow-boy muet, l’interprète s’est forgé, dit-il, un métier. La fierté des timides, les cicatrices d’une enfance en clair-obscur, les liens noués et brisés, ont fait émerger un personnage tout en retenue et en tension, d’une sensibilité encore aiguisée par les drames familiaux. Déterminé, solitaire et silencieux, il a suivi son chemin, à l’écart du star system. Comédien exigeant d’un cinéma français en plein renouveau, figure de la grande période du cinéma italien et réalisateur original, il aura cependant croisé la plupart des grands noms de la vie artistique de son époque. Vincent Quivy livre une biographie complète de l’acteur, des coulisses des tournages aux tourments de sa vie. Pour mener à bien son enquête, il s’est appuyé sur des archives multiples et a rencontré nombre de ceux qui l’ont côtoyé sur les plateaux ou qui ont partagé sa vie. Il trace un portrait émouvant et précis d’un immense acteur, séducteur et énigmatique. Vincent Quivy est historien journaliste et écrivain. »

 

 

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