Michel et son cultissime canapé rouge reçoivent Franck Dubosc, et autour d’eux: Medi SADOUN, Ary ABITTAN, Jean-Louis DEBRE, BEN, Arnaud TSAMERE, Anne ROUMANOFF, Les Chevaliers du Fiel, Eric ANTOINE.
- FRANCK DUBOSC
Il est dans « Camping 3 » de Fabien Onteniente, la suite des aventures de Patrick Chirac au camping des flots bleus. Franck Dubosc a co-signé le scénario et les dialogues avec Fabien Onteniente
Sortie le 29 juin
Avec aussi Claude Brasseur, Mylène Demongeot, Gérard Jugnot, Michèle Laroque, Philippe Lellouche, Louka Méliava, Jules Ritmanic, Cyril Mendy, Leslie Médina, Antoine Duléry, Laurent Olmédo, Cristiana Réali , Amélie Robin…
Musique de Jean-Yves d’Angelo et chanson originale de Maitre Gims.
L’histoire : Comme chaque 1er aout, les habitués du Camping des Flots Bleus, se retrouvent pour leurs vacances entre amis… Bien entendu, Patrick Chirac est fidèle au rendez-vous… Pour venir, il a même testé le co-voiturage… Et fait ainsi la rencontre de trois jeunes qui vont prolonger l’expérience en voulant faire du « co-couchage »…
- JEAN-LOUIS DEBRE
Ancien président du Conseil Constitutionnel (il l’a quitté le 5 mars dernier, remplacé par Laurent Fabius), il publie son journal, au jour le jour de mai 2007, jusqu’à aujourd’hui, « Ce que je ne pouvais pas dire » aux éditions Robert Laffont.
Il a été Ministre de l’Intérieur de Jacques Chirac, Président de l’Assemblée Nationale, et député-maire d’Evreux…
NOTE DE L’EDITEUR
« Après neuf années passées à la tête du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré renoue avec la liberté de ton qu’on lui connaît. Jamais on n’a autant parlé de cette institution ni mieux compris son utilité que sous sa présidence. Dans ce livre, il évoque les dossiers qu’il a eu à traiter, les combats qu’il a menés, les dirigeants politiques qu’il a côtoyés et souvent affrontés.
Esprit libre, indépendant, attaché avant tout au respect du droit et des valeurs républicaines, il a pris les positions qui lui paraissaient conformes à sa mission, sans chercher à ménager aucun pouvoir, ni craindre d’être mis en cause, comme il l’a été par les dirigeants de l’UMP après le rejet des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy. Il a également dû se prononcer sur des lois et réformes majeures, notamment lors des débats sur le mariage homosexuel, la taxe carbone ou la loi Hadopi.
Il livre ici souvenirs, commentaires et mises au point sous la forme d’un journal tenu régulièrement au cours de ces neuf années, » au gré de mes humeurs « , écrit-il. Il raconte les démêlés qui l’ont opposé à Nicolas Sarkozy, ses échanges avec Valéry Giscard d’Estaing ou François Hollande et ses relations avec Alain Juppé, Manuel Valls, Jean-François Copé ou Bruno Le Maire. Il consacre aussi des pages émouvantes à Jacques Chirac, dont il a été l’un des confidents les plus fidèles, brossant de l’ancien président aux prises avec la maladie un portrait qui nous le rend encore plus attachant. »
- MEDI SADOUN et ARI ABITTAN
Ils sont dans le film de Philippe de Chauveron « Débarquement immédiat », avec comme sous-titre « Un flic, un boulet, une mission qui dérape ».
Sortie le 13 juillet
Avec aussi Cyril Lecomte, Slimane Dazi, Reem Khérici, Patson, Loïc Legendre…
L’histoire : un flic de la police des frontières (Ary Abittan) est chargé de ramener un homme (Medi Sadoun) dans son pays… Mais est-ce bien le bon gars ? Et le bon pays ?
- ERIC ANTOINE
Depuis le 2 juin et jusqu’au 3 juillet il participe au spectacle « Nous, Rêveurs définitifs, cabaret magique » au THEATRE DU ROND-POINT à Paris.
Un spectacle signé Clément Debailleul et Raphael Navarro de la compagnie 14 :20, avec son épouse Calista Sinclair, Ingrid Estarque, Yann Frisch, Etienne Saglio…
Un nouveau concept qui mélange des numéros visuels classiques avec des effets de la « Magie Nouvelle » et des arts de l’illusion…
- LIVRES PRESENTES PAR MICHEL
« Comme un enfant perdu » de Renaud Séchan aux éditions XO.
NOTE DE L’EDITEUR
« Je parcourais les rues,
Ma guitare sur le dos,
Comme un enfant perdu,
Je traînais des sanglots.
Ma vie n’avait pas de sens,
Et l’amour fuyait mes pas.
Je n’ai jamais eu de chance,
Je n’en aurai jamais, je crois.
Renaud, Lucile, 1969
Quand vous m’offriez des fleurs et que je vous grognais quelques mots inaudibles – d’aller vous faire voir, que plus jamais je ne chanterai, embrumé dans les vapeurs de l’alcool, je vous ai rendus malheureux, comme j’ai rendu malheureux tous les miens. Je le sais, je l’ai lu dans les milliers de lettres que vous m’avez adressées. Eh bien, dans les mois qui viennent, je vais m’efforcer de vous rendre le sourire. Et qui sait ? Peut-être même allons-nous pleurer ensemble du bonheur de nous retrouver vivants, et sous le même ciel. Toujours debout.
Renaud, L’Isle-sur-la-Sorgue, 11 mai 2016
Ce livre est un événement.
Après le grand retour de Renaud et le succès triomphal de son nouvel album Toujours debout, le chanteur publie son autobiographie. Dans son livre, Renaud raconte ses amours, ses tourments, sa révolte face aux injustices du monde. Un livre, dit-il, qui permet de comprendre. Sa vie. La vie. Et qui nous bouleverse à chaque page. »
« Céline et René, un amour invincible » d’Elisabeth Reynaud aux éditions Les 2 Salamandres.
NOTE DE L’EDITEUR
« L’auteur retrace l’histoire du couple que formaient Céline Dion et René Angélil, depuis les débuts de la chanteuse partie de son village de Charlemagne au Québec. Un parcours d’exception qu’elle doit à son mari, René, qui a élaboré les conditions de son succès. »
« Confessions d’un acteur déchu, De L’Esquive à la rue » d’Ozman Elkharraz avec Raymond Dikoumé aux éditions Stock.
NOTE DE L’EDITEUR
« « Y a eu une réunion avec l’équipe du fi lm. Dans la salle, tous les petits étaient avec soit leur daron, soit leur daronne. J’étais le seul tout seul. On nous a tout expliqué. C’était le deuxième film du réalisateur. Abdellatif Kechiche, il s’appelait. Moi, je devais jouer Krimo, un petit rebeu qui vit dans une cité avec sa mère. C’était le rôle principal. Ça donnait grave envie. Ça allait durer de juillet à août, du coup on pourrait pas partir en vacances. Et comme j’avais nulle part où aller, ça tombait bien. »
Le cinéma, c’est comme une drogue. Quand on tourne, ça fait du bien, ça met plein de couleurs dans la vie. Mais après, quand ça s’arrête, il y a la descente. Et ça peut faire très mal, surtout quand on a quinze ans et plus de parents.
Voilà, c’est l’histoire d’Osman. »