ALAIN DUHAMEL

Il publie un livre aux éditions de L’Observatoire intitulé « Emmanuel le Hardi ».

«Jadis, les rois de France étaient souvent affublés d’un surnom. Tantôt flatteurs, Philippe le Bel ou Louis XV le Bien-Aimé, tantôt moins agréables, Louis le Bègue ou Charles le Chauve. Il est tentant d’accoler aux présidents si monarchiques de la Ve République un tel surnom. Le général de Gaulle n’aura pas dédaigné de se voir honorer d’un Charles le Grand?; François Mitterrand aurait pu prétendre à François le Hutin à l’instar de Louis X ou encore Nicolas Sarkozy à Nicolas le Batailleur. Pour le président actuel, Emmanuel le Hardi semble le plus appro­prié. On aurait pu envisager aussi bien un Emmanuel le Téméraire, tant son élection relevait d’une audace presque impudente, tant son mandat se déroule sous le signe du risque perpétuel et des tensions permanentes. Mais qualifier le jeune président de «?hardi?» semble plus juste, puisque après tout la partie n’est pas jouée, l’échec n’est pas avéré, l’impasse n’est pas inévitable. Macron chevauche la stratégie du risque extrême mais aussi longtemps qu’il n’a pas renoncé, qu’il se bat, il subsiste une part de chance?; hardi plus que téméraire, même si la distance tient parfois à un fil. Car la France reste ce grand pays enviable aux orages non désirés. Y être président, c’est être impopulaire et être impopulaire, c’est être entravé. Voilà la malédiction présidentielle qu’Emmanuel Macron a la prétention d’affronter et de vaincre. Avec son courage et son énergie. Avec ses fautes et ses bourdes. Déterminé à réformer, donc en sursis perpétuel. Hardi.» A.D.

JULIEN CLERC

Son nouvel album s’intitule « Terrien ». Il est composé de 12 nouvelles chansons dont il a signé les musiques, avec les signatures de Marie Bastide, Carla Bruni, Jeanne Cherhal, Clara Luciani, Didier Barbelivien, Paul Ecole, Bruno Gugliémi, Baptiste Hamon, Bernard Laviliers, Marc Lavoine, Vincha…

Une tournée est prévue à partir de Juillet et le Palais des Congrès les 10, 11 et 12 décembre prochain.

BRUNO SANCHES ET GUILLAUME LABBE

Ils jouent dans la nouvelle série de France 2 : « L’école de la vie » réalisée par Elsa Bennet et Hippolyte Dard et dont les 2 premiers épisodes sont diffusés Mercredi 21 avril.

On retrouvent également Florence Pernel (la proviseur), Emilie Dequenne (la femme de Guillaume Labbé), Bruno Solo, Nadège Beausson-Diagne, Djibi Diakaté (un élève handicapé), Camille Léon Fucien (une lycéenne victime de grossophobie)…

L’HISTOIRE : On suit la vie de Guillaume Labbé qui joue un professeur de lycée, victime d’un drame personnel… Parallèlement, on suit les élèves d’une classe de lycée, dans leur vie et dans leurs problèmes…
LES THEMES EVOQUES : La phobie scolaire… le handicap à l’école… le harcèlement… Les abus sexuels… La grossophobie… Les profs qui craquent… Comment aborder les sujets de société à l’école…

VIANNEY

Son nouvel album s’intitule « N’attendons pas ». Il est composé de 11 nouvelles chansons, écrites et composées par lui. Il est déjà disque de platine.

Une tournée des Zénith est prévue pour fin 2021 et un passage par Bercy le 14 décembre.

Il est par ailleurs juré dans The Voice sur TF1 aux côtés de Marc Lavoine, et Amel Bent et Florent Pagny.

Il vient aussi de parrainer un évènement qui se déroulera du 18 au 30 avril prochain: « JE COURS POUR LA CULTURE ». Une course à pieds qui part de Montgeron pour rejoindre Aix en Provence pour soutenir les artistes et entrepreneurs de spectacle; Un parcours de 900km en 13 jours…

Informations sur: https://jecourspourlaculture.com/

ELODIE POUX

Son spectacle qu’elle joue depuis 2013 s’intitule « LE SYNDROME DU PLAY MOBILE ». Avec lui elle a remporté 33 prix dans 23 festivals différents. 

Elle tient une chronique quotidienne sur « Rire et Chanson » dont les textes viennent de sortir en librairie;

LIVRES PROPOSES PAR MICHEL

« Pouvoirs » d’Etienne Mougeotte aux éditons Calmann-Levy.

NOTE DE L’EDITEUR
« Au début des années soixante, le ministre de l’Information est le véritable patron des radios et télévisions publiques. Il a une ligne directe avec le directeur de l’ actualité télévisée avec lequel il décide tous les soirs du contenu des journaux d’information.
Soixante ans plus tard, la concurrence entre les médias est sans répit, la course à l’ information permanente, avec, entre autres, l’ arrivée de chaînes d’ information en continu, le développement des fake news et les sites Internet et plateformes numériques qui menacent de s’ affirmer comme les médias dominants.
Étienne Mougeotte nous raconte cette incroyable évolution à laquelle il a participé, depuis les postes de direction qu’ il a occupés à France Inter, Europe 1, TF1, Radio Classique, Télé 7 Jours et au Figaro.
Radio, télévision, presse écrite, numérique, aucun média ne lui a été étranger.
C’ est aussi toute la vie politique des soixante dernières années qu’ Étienne Mougeotte évoque à travers ses souvenirs de la guerre des Six Jours, de la présidence de Valéry Giscard d’Estaing et celle de Jacques Chirac, ou de l’ arrivée de François Mitterrand au pouvoir en 1981.
Étienne Mougeotte se livre pour la première fois et nous entraîne dans les coulisses fascinantes des médias et du pouvoir.« 

« Je vous aiderai à vivre, vous m’aiderez à mourir » de Nathalie Saint-Cricq aux éditions de L’Observatoire.

NOTE DE L’EDITEUR
« 2 mai 1923. Comme chaque jour, Clemenceau s’installe à sa table de travail. Malgré ses 82 ans, il n’a rien perdu de sa flamboyance ni de son orgueil. À l’aube du XXe siècle, alors que la République l’a remercié, le « Père la Victoire » ignore ce matin-là qu’il se prépare à vivre ses années les plus passionnées. Marguerite Baldensperger, éditrice de quarante ans sa cadette, s’apprête à passer sa porte pour lui proposer d’écrire un livre. Dès lors, leurs destins seront liés. Pourtant, tout les oppose. Elle aussi réservée et discrète que le « Tigre » est colérique et tempétueux. Mais dès leur rencontre, un pacte les unit : « Je vous aiderai à vivre , vous m’aiderez à mourir. » Marguerite surmontera ainsi le grand chagrin de sa vie et reprendra goût à l’existence. Clemenceau puisera dans sa présence une vigueur nouvelle pour le combat politique et retrouvera la fougue de ses anciennes batailles. Malgré les années qui les séparent, ils vont s’aimer, chacun à leur façon.  Par sa plume enlevée, réjouissante et ironique, Nathalie Saint-Cricq fait revivre la grande figure de Georges Clemenceau, son terrible caractère, ses mots d’esprit dévastateurs, et, avant tout, son coeur ardent. »

« De Gaulle, l’album inattendu » de Patrice Duhamel et Jacques Santamaria aux éditions de L’Observatoire.

NOTE DE L’EDITEUR
« Il fallait allier la photographie, ce passeport pour l’éternité qui, à jamais, guide notre mémoire, et les mots de celles et ceux qui témoignent ou commentent, pour faire voir, entendre et revivre l’homme du 18 juin et le fondateur de la Ve République. Les photographies ici rassemblées sont célèbres, peu connues ou totalement inédites, mais toutes montrent le Général sous un jour différent, souvent ; inattendu, toujours. Au gré des pages, des cérémonies officielles, des instants de vie ou des clichés familiaux, Charles de Gaulle se révèle à travers les yeux et les souvenirs, les témoignages et la mémoire de ses proches, de chefs d’État, ministres, historiens, artistes, écrivains ou journalistes. Le général de Gaulle nous apparaît alors dans toute sa grandeur et sa profonde humanité« 

« Journal 2020 » de Claude Sérillon aux éditons Cent Mille Milliards.

NOTE DE L’EDITEUR
« Tenir un journal est une aventure intime, une envie de curiosité partagée, une façon de conserver un lien avec l’extérieur, l’autre, l’inconnu bloqué quelque part, loin, près, en attente de nouvelles.
Ce que les pages suivantes révèlent est du domaine personnel, une façon d’observer et de réagir, de se mettre dans la peau d’un spectateur certes mais surtout de quelqu’un qui se mêle de ce qu’il regarde. Les mois de cette année se sont laissés enfermer dans d’infernales consignes, règlements, interdictions, limitations et autres entraves aux libertés. Il en allait paraît-il de notre santé et il fut laissé croire que la mort pouvait être vaincue, que nous étions plus forts bouches cousues.« 

 

 

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31 juillet 202216:10

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