DANY BOON

Il joue dans le film de Christian Carion, « Une belle course », aux côtés de Line Renaud, Jérémy Laheurte, Alice Issaz, Julie Delarme, Gwendoline Hamon…

Sortie du mercredi 21 septembre

Synopsis: « Madeleine, 92 ans, appelle un taxi pour rejoindre la maison de retraite où elle doit vivre désormais. Elle demande à Charles, un chauffeur un peu désabusé, de passer par les lieux qui ont compté dans sa vie, pour les revoir une dernière fois. Peu à peu, au détour des rues de Paris, surgit un passé hors du commun qui bouleverse Charles. Il y a des voyages en taxi qui peuvent changer une vie…« 

PATRICK SABATIER

Il publie aux éditions du Rocher « La lettre » où « biographie et fiction sont entremêlées ». D’ailleurs, en exergue du livre, cette phrase de Marcel Pagnol est mise en exergue: « La sincérité de la mémoire est plus importante que l’authenticité des faits ».


NOTE DE L’EDITEUR
« Rome, 1924. « Le premier cri d’Emma fut le dernier de sa mère… » De l’Italie de Mussolini à la France de Mitterrand, en passant par l’exil de l’entre-deux-guerres, le destin chaotique d’Emma nous entraîne dans une fresque à la fois historique et intime. À l’issue d’un premier mariage malheureux, Emma rencontre Adrien qu’elle épouse en secondes noces et avec lequel elle a deux enfants. Le plus jeune, Paul, devient, trente ans plus tard, un des animateurs-vedettes les plus populaires de sa génération. Mais une révélation tardive fait voler en éclats les certitudes, dévoilant un passé douloureux qu’Emma pensait enfoui à tout jamais. Une lettre, une simple lettre révèle tout. Tout… ou presque !Pour son premier roman, Patrick Sabatier s’est fortement inspiré de la vie de ses parents. Un roman en trompe-l’oeil où récit personnel, souvenirs et saga romanesque s’entremêlent habilement et où la sincérité de l’auteur nous touche au plus profond. »

ADÉ

Son premier  album solo s’intitule « Et Alors ? ». Il est sorti il y a quelques jours. Il se compose d’une quinzaine de chansons, aux  influences Américana, précise le dossier de presse : « à mi-chemin entre pop luxuriante et country futuriste, dans une atmosphère de saloon ». Adé en a écrit les paroles et les musiques.

En tournée dès janvier 2023, elle sera à la La Maroquinerie à Paris, les 1er et 2 février, et à  La Cigale le 6 avril.

Informations sur: https://adeofficiel.com/

NATHAN DEVERS

Normalien, agrégé de philo, écrivain, chroniqueur sur Cnews (Pascal Praud), il publie « Les liens artificiels » aux éditions Albin Michel. Son roman est sur la première liste du Goncourt 2022.

NOTE DE L’EDITEUR
« «Il fallait la raconter, cette spirale. La spirale de ceux qui tournent en rond entre le virtuel et la réalité. Qui perdent pied à mesure que s’estompe la frontière entre les écrans et les choses, les mirages et le réel, le monde et les réseaux. Le cercle vicieux d’une génération qui se connecte à tout, excepté à la vie. » N.D.
Alors que Julien s’enlise dans son petit quotidien, il découvre en ligne un monde « miroir » d’une précision diabolique où tout est possible : une seconde chance pour devenir ce qu’il aurait rêvé être…

Bienvenue dans l’Antimonde.« 

« LE PLAISIR DES TEXTES » PAR NATHAN DEVERS

« V13: chronique judiciaire » d’Emmanuel Carrère aux éditions P.O.L;

NOTE DE L’EDITEUR
« V13 : c’est le nom de code du procès des attentats terroristes qui, le vendredi 13 novembre 2015, ont causé 130 morts au Stade de France, sur des terrasses de l’est parisien, dans la salle de concert du Bataclan.14 accusés, 1800 parties civiles, 350 avocats, un dossier haut de 53 mètres : ce procès hors norme a duré neuf mois, de septembre 2021 à juin 2022. Je l’ai suivi, du premier au dernier jour, pour l’hebdomadaire L’Obs.Expérience éprouvante, souvent bouleversante, fascinante même quand elle était ennuyeuse.Une traversée. »

« Il n’y a pas de Ajar » de Delphine Horvilleur aux éditions Grasset.

NOTE DE L’EDITEUR
« L’étau des obsessions identitaires, des tribalismes d’exclusion et des compétitions victimaires se resserre autour de nous. Il est vissé chaque jour par tous ceux qui défendent l’idée d’un «  purement soi  », et d’une affiliation «  authentique  » à la nation, l’ethnie ou la religion. Nous étouffons et pourtant, depuis des années, un homme détient, d’après l’auteure, une clé d’émancipation  : Emile Ajar. 
Cet homme n’existe pas… Il est une entourloupe littéraire, le nom que Romain Gary utilisait pour démontrer qu’on n’est pas que ce que l’on dit qu’on est, qu’il existe toujours une possibilité de se réinventer par la force de la fiction et la possibilité qu’offre le texte de se glisser dans la peau d’un autre. J’ai imaginé à partir de lui un monologue contre l’identité, un seul-en-scène qui s’en prend violemment à toutes les obsessions identitaires du moment.  
 Dans le texte, un homme (joué sur scène par une femme…) affirme qu’il est Abraham Ajar, le fils d’Emile, rejeton d’une entourloupe littéraire. Il demande ainsi au lecteur/spectateur qui lui rend visite dans une cave, le célèbre «  trou juif  » de La Vie devant soi  : es-tu l’enfant de ta lignée ou celui des livres que tu as lus ?  Es-tu sûr de l’identité que tu prétends incarner  ? 
En s’adressant directement à un mystérieux interlocuteur, Abraham Ajar revisite l’univers de Romain Gary, mais aussi celui de la kabbale, de la Bible, de l’humour juif… ou encore les débats politiques d’aujourd’hui (nationalisme, transidentité, antisionisme, obsession du genre ou politique des identités, appropriation culturelle…). 
 Le texte de la pièce est précédé d’une préface Delphine Horvilleur sur Romain Gary et son œuvre. Dans chacun des livres de Gary se cachent des «  dibbouks  », des fantômes qui semblent s’échapper de vieux contes yiddish, ceux d’une mère dont les rêves l’ont construit, ceux d’un père dont il invente l’identité, les revenants d’une Europe détruite et des cendres de la Shoah, ou l’injonction d’être un «  mentsch  », un homme à la hauteur de l’Histoire. 
«  J’avais 6 ans lorsque Gary s’est suicidé, l’âge où j’apprenais à lire et à écrire. Il m’a souvent semblé, dans ma vie de lectrice puis d’écrivaine que Gary était un de mes «  dibbouks  » personnels… Et que je ne cessais de redécouvrir ce qu’il a su magistralement démontrer  : l’écriture est une stratégie de survie. Seule la fiction de soi, la réinvention permanente de notre identité est capable de nous sauver. L’identité figée, celle de ceux qui ont fini de dire qui ils sont, est la mort de notre humanité.  » » 

« Mon cher mari » de Rumena Bužarovska aux éditions Gallimard.

NOTE DE L’EDITEUR
« À tour de rôle, onze femmes se livrent sans tabou au sujet de leur époux. Adultère ou machiste, prétentieux ou destructeur, l’homme de chaque couple est décrit par sa compagne dans une situation quotidienne qui dévoile l’étendue de ses défauts, mais également à quel point il est difficile de vivre à deux. Car parler de son conjoint, c’est forcément révéler autant sur soi que sur l’autre…Tableau à la fois désopilant et terrible des rôles attribués par la société, Mon cher mari renouvelle la fiction féministe en égratignant tout le monde. Sur un fil d’équilibriste entre ironie décapante et tragique de la banalité conjugale, Rumena Bužarovska pointe les limites sociales comme intimes de notre discours sur le couple et interroge de son irrésistible talent chaque rouage du vaste jeu de l’amour et du mariage.« 

ANNE ROUMANOFF

 Elle sera à l’Olympia le 4 décembre prochain pour fêter ses 35 ans de carrière. Elle sera entourée de toutes une bande d’invités pour des duos désopilants.

Elle est par ailleurs toujours en tournée avec son spectacle « Tout va presque bien ».

Informations sur: http://www.anneroumanoff.com/

SONIA ROLLAND ET BEATRICE DE LA BOULAYE

 La série « Tropiques criminels » est de retour pour une saison 3, diffusée sur FR2 tous les vendredi soir à parti du 30 septembre, et à raison de 2 épisodes par vendredi (8 en tout).

La saison précédente a réuni 4,7 millions de téléspectateurs et une saison 4 est déjà prévue…

Réalisée par Denis Thybaud et Floriane Crépin, on y retrouve aussi Julien Béramis, Arié Elmaleh, Stephan Wojtowicz…

L’HISTOIRE : De nos jours en Martinique, deux policières qui ne s’entendent pas vraiment, sont obligées de mener l’enquête ensemble,  malgré tout… On dit d’elle « Deux femmes libres, prêtes à tout pour rendre justice dans leur île ».

 

 

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