MICHELE TORR
Elle sera aux Folies Bergères dimanche 29 octobre, pour fêter ses 60 ans de carrière.
Par ailleurs, un coffret de son oeuvre intégrale est disponible, comprenant 22 albums, 465 titres.
Plus d’informations sur: https://www.micheletorr.com/
PATRICK FIORI
Son album corse « Corzu Mezu Mezu 2 », est toujours disponible.
Par ailleurs, le 28 octobre, il sera à Paris à La Défense Arena, pour un grand concert avec près de 1000 choristes.
CHRISTELLE CHOLLET
Son nouveau spectacle s’intitule « L’empiafée déchire sa mère», qu’elle joue actuellement et pour 60 représentations au Théâtre de La Tour Eiffel.
Plus d’informations sur: https://www.christellechollet.com/
FRANCIS HUSTER ET MICHEL LEEB
Ils jouent dans la 1ère pièce de Michel Leeb « Les pigeons », actuellement, au théâtre des Nouveautés pour la 2è saison.
Mise en scène de Jean-Louis Benoit, avec aussi Chloé Lambert, Philippe Vieux.
« Serge et Bernard, acteurs de second plan, la soixantaine, habitués aux troisièmes rôles, sont amis depuis longtemps . Ils ont débuté ensemble il y a 40 ans, mais n’en restent pas moins rivaux. Convoqués en même temps pour le casting d’un film, ils sont à la fois surpris et contents. En attendant de passer l’audition, ils discutent, évoquent leurs souvenirs , se taquinent… Mais quand on leur apporte le texte de l’audition tout bascule. Une comédie entre rires et émotions. »
NATHAN DEVERS: LE PLAISIR DES TEXTES
« Une jeune fille en feu » de Gérard de Cortanze aux éditions Albin Michel.
NOTE DE L’EDITEUR
« Revenue d’entre les morts, la jeune Christine traverse le feu et la glace, parle aux oiseaux, prédit l’avenir, vole d’arbre en arbre. En cette fin du XIIème siècle où les femmes sont considérées comme versatiles ou folles et rendues responsables de la Chute originelle, elle refuse le silence et la soumission.
Adepte de la vie évangélique, elle se consacre au soin des malades, à la prière et à la contemplation mystique, mais n’en prône pas moins la redistribution des richesses, condamne les mauvais prêtres et prend la défense de la communauté juive. Féministe avant la lettre, celle qu’on appelle désormais Christine l’Admirable exhorte les épouses à se révolter contre leur mari, les nonnes à fuir les couvents et entraîne dans son sillage des centaines d’errantes, annonciatrices des fameuses béguines.
Dans ce roman fascinant, qui traverse un siècle secoué par de grands bouleversements culturels et religieux, Gérard de Cortanze dresse le portrait d’une sainte femme dont les revendications sont d’une modernité stupéfiante.«
« Hors de moi » de Yann Moix aux éditions Grasset.
NOTE DE L’EDITEUR
« Ce premier volume d’un journal-fleuve couvre une seule année de la vie de l’auteur, de juin 2016 à juin 2017, durant laquelle il fut notamment chroniqueur dans l’émission » On n’est pas couché « , année fertile en rencontres, observations et expériences.
Personnalité controversée, Yann Moix est avant tout un des meilleurs écrivains d’aujourd’hui, salué comme tel par l’ensemble de la critique au-delà des polémiques qu’il peut susciter. C’est la raison de son entrée dans » La collection » Bouquins et de la publication de cette œuvre inédite qui traverse tout son univers à la fois intime et public.
On y découvrira le grand lecteur qu’il est, l’homme fou de musique, de littérature et de philosophie. L’amoureux dans ses relations avec les femmes de sa vie. L’observateur implacable de la comédie sociale, littéraire et médiatique à travers les multiples portraits qu’il brosse de ses confrères écrivains, des personnalités politiques et médiatiques qui ont eu la chance ou la malchance de croiser sa route. Un régal de tendresse pour ceux qu’il apprécie et de férocité pour ceux qu’il démasque sans merci. Au nom d’un souci contestant et absolu de sincérité brute, comme il l’explique dans ces extraits :
Dimanche 10 juillet 2016 : Écrire un journal exige non pas exactement de la paresse, mais un certain laisser-aller qui, finalement, oscille entre l’inconscience, le suicide et le courage. Se faire un destin, pourtant, est impossible si l’on n’est pas d’abord – pour un temps du moins – détesté, honni, proscrit, voué aux gémonies, marginalisé, » grillé « . Tous ceux qui ne passent pas par cette sale période ne font, au mieux, qu’une » carrière « . Plutôt crever que de faire carrière. Faire carrière : réussir dans la vie ; il s’agit de réussir sa vie. Traduction concrète : la soumettre à tous les dangers (intellectuels, physiques).
Lundi 11 juillet 2016 : Tout journal intime est une burlesque lutte contre cet invisible titan qui nous pousse vers cet abyme : l’âge. L’âge est un cosmos que gouverne le ridicule. Il s’agira donc de s’y amuser ; j’ai bien fait de pleurer d’abord. Viennent les jours, doucement, où je n’aurai d’autre choix que de m’abandonner sans vergogne à ce que je crois que je suis – jusqu’à le devenir.
Jeudi 11 août 2016 : Dans ce journal, je tiens à constater, quand je le relirai – si je le relis jamais ‒ les contradictions qu’il contient, et qui me disent mieux que ne le sont mes cohérences. Un être n’est jamais que le perpétuel contraire de ses décisions, la démission de ses certitudes, l’inverse de ses pensées, la dénégation de ses actes, le contre-exemple de sa morale. Je ne suis que le brouillon de ce que je crois que je suis. Je suis vivant, c’est-à-dire que je n’ai pas la personnalité que je m’assigne, encore celle qu’on m’accole. Je m’échappe sans arrêt de ce que je décide, je m’évade de ce que je prévois, je rature ce que j’échafaude, je m’enfuis de moi-même sans m’en rendre compte, et lorsque j’en suis conscient, au lieu que d’en avoir mauvaise conscience, il s’agirait plutôt que j’en jouisse. Échapper à soi : voilà le motif de l’existence. Je ne supporte pas celui qui est fidèle à ses principes, parce qu’une vie de fidélité n’est pas une vie, et qu’une vie de principes tutoie la mort. Fidélité aux êtres, oui. Aux choses ? Plutôt mourir.
Mercredi 24 août 2016 : La profondeur de la vie fait craindre à chaque paragraphe d’un journal intime l’imminence de la mort.
Lundi 5 septembre 2016 : Ce journal intime est un journal de guerre.
Mercredi 26 octobre 2016 : Si je ne suis plus d’accord avec ce que j’ai déjà écrit, ne pas raturer, mais continuer, dire que je me suis trompé plus haut, ou me contredire parfaitement. Cela n’a aucune importance. On se contredit sans cesse dans la vie. Je suis capable de me contredire par écrit. C’est le cheminement qui compte, les errances et les erreurs évidemment. Je n’improvise pas ce que je pense, mais ne pense qu’en improvisant. Je ne voudrais pas tricher. Je laisse à ce journal sa fraîcheur spontanée. J’avance au coupe-coupe en même temps que le lecteur ; je veux dire : c’est le lecteur qui avance avec et en même temps que moi. Dans la jungle.«
ELOÏZ
Elle s’apprête à assurer la 1ère partie de Claudio Capéo le 10 octobre au Zénith de Paris, et ensuite en tournée.
JEAN-MARIE BIGARD
Son nouveau spectacle s’intitule « J’arrête les conneries », actuellement en tournée. Un spectacle écrit par Laurent Ruquier, Laurent Baffie, Arnaud Lemort et Jean-Marie Bigard.
Par ailleurs, il publie « Les 50 dernières phrases, juste avant de mourir! » , illustré par Emmanuel Chaunu.
Plus d’informations sur: https://www.bigard.com/
CONSEILS CULTURELS DE MICHEL
BD « Face au vent » de Fanny Leeb et Cyrielle Pisapia, aux éditions Le dic Graphic.
NOTE DE L’EDITEUR
« Celles qui ont vécu cette maladie se souviendront toujours du moment où elles l’ont su. Un souvenir limpide, teinté d’effroi, de ce qu’elles faisaient la veille, de ce qu’elles feraient le lendemain.
Le jour où elle apprend qu’elle a un cancer du sein est un électrochoc pour Fanny Leeb. Avec courage et détermination, elle décide de se battre et d’en faire une force. Cette BD, ce sont ses batailles, sa guerre entourée de ses proches, mais aussi sa reconstruction. Comment se relever quand le combat est terminé ? Comment reprendre une vie normale et vivre avec cette étiquette de « malade en rémission » ? Cette BD est surtout, face au vent et aux embûches, une ode à la vie, à ce qu’elle a de plus précieux : partager avec les siens, croire, positiver, avancer, rire.
Sans peur. Une histoire universelle, à la fois sincère, drôle et optimiste.«
CD Edith Piaf « Symphonique »
« Christophe, mon père inconnu » de Romain Vidal avec Bernard Pascuito aux éditions Robert Laffont.
NOTE DE L’EDITEUR
» Je voulais juste lui dire mon amour. «
Ce sont d’abord des années d’indifférence, d’hésitations ; peut-être aussi de regrets, entre un homme et son fils. Puis des premiers pas feutrés l’un vers l’autre. Pour qu’enfin se dise, au bout du chemin, le seul » Je t’aime » de toute une vie.
Aujourd’hui, Romain Vidal a 56 ans, et la disparition de son père des suites du Covid reste entourée de mystère. On découvre que le chanteur est mort seul, dans des conditions précaires. Que, depuis dix ans, Romain tissait un lien de plus en plus intime avec lui, et qu’il a pourtant été tenu à l’écart lors des derniers moments, de même que d’autres proches.
Représente-t-il une menace, lui qui n’a jamais rien réclamé ? Dévasté, il se lance dans une quête éperdue de son histoire. Le voilà qui remonte tous les fils secrets de la personnalité de Christophe et part à la rencontre de ses fêlures, de son effrayante solitude. Si près de ses propres blessures. Tel père, tel fils. Et si c’était la morale de cette histoire violente et tendre ?«
« Le prince balafré » d’Alain Duhamel aux éditions de L’Observatoire.
NOTE DE L’EDITEUR
« Sur le papier, Emmanuel Macron avait tout du prototype de l’homme politique différent. En 2017, sa campagne allègre lui fait gagner le statut d’outsider original, éloigné des clivages fatigués de la droite et de la gauche. En 2022, la crise des Gilets jaunes, l’épidémie de Covid-19, la guerre entre la Russie et l’Ukraine, la réforme des retraites et les prises de parole malencontreuses du ferme mais obstiné président ont considérablement éraflé cette image de renouveau dynamique. Avec un atterrant taux d’abstention, Emmanuel Macron doit plus sa réélection à la peur que continuent d’inspirer les extrêmes qu’à son programme ou qu’à lui-même. Et tandis que le trio de tête de ces dernières présidentielles Macron-Le Pen-Mélenchon prouve, s’il en est besoin, la dislocation de la scène politique telle qu’on la connaissait, la Ve République, après un mandat jalonné de chocs inédits, tremble sur ses fondations – les Français sont dans la rue et beaucoup appellent au rejet ou à la rupture. Alain Duhamel analyse les splendeurs et misères du huitième président de la République, le plus singulier de tous, et des candidats à sa succession?; un portrait affuté des acteurs de la Ve, de leurs électeurs, des dynamiques et tensions économiques et sociales à l’oeuvre dans le paysage politique d’aujourd’hui et de demain.«
« L’ombre d’un traître » de Nathalie Saint-Cricq aux éditions de L’Observatoire.
NOTE DE L’EDITEUR
« 18 juin 1960, Paris. Désiré, jeune orphelin et journaliste débutant à France-Soir, se retrouve malgré lui au coeur d’une ténébreuse affaire qui va changer sa vie. Quinze héros de la France combattante choisis à la Libération font leur entrée solennelle dans la crypte du mont Valérien, ainsi que l’a voulu le général de Gaulle. C’est un grand moment d’histoire nationale. Pourtant, dans l’ombre, c’est le branle-bas de combat : il semblerait qu’un traître, Robert B., figure parmi les cercueils. Pour Désiré, le scoop de sa vie se transforme vite en un engrenage bien plus complexe qu’il ne l’avait imaginé. Coups bas, menaces… on veut le faire taire. Aidé de l’énigmatique résistant Henri de Prévôté, de son ingénieuse fiancée Colette ou encore d’un fantasque patron de bistrot, l’apprenti reporter ira jusqu’au bout pour percer le mystère de ce secret d’État, quitte à se voir confronté aux zones d’ombre de son propre passé. Sous les allures d’un roman policier plein d’humour, Nathalie Saint-Cricq nous conte l’histoire vraie, inédite jusque-là, de l’affaire qui secoua la France des années soixante et les arcanes du pouvoir gaulliste.«
Essaï en concert à l’Alhambra
Match de Solidarités au profit des pièces jaunes

PROCHAINE ÉMISSION
Vivement Dimanche du 03/12/2023
3 décembre 202313:30