MARIE-ANNE CHAZEL et MICHEL LEEB
Ils jouent dans la pièce de Philippe Claudel « Parle moi d’amour » mise en scène par Nicolas Briançon au théâtre de la Michodière depuis le 20 septembre.
Elle donne à voir une gigantesque scène de ménage.
THOMAS DUTRONC
Son nouvel et 6ème album, sorti le mois dernier, s’intitule « Il n’est jamais trop tard ».
Il sera en tournée à partir de février 2025 avec un passage à l’Olympia le 19 mai 2025.
Informations sur: http://thomasdutronc.fr/
CONSEILS CULTURELS ET SPORTIFS DE MICHEL
- Samedi 12 octobre 2024 le Variétés Club de France jouera son 2500è match, au profit de l’association Les Enfants de la Terre de Yannick Noah, au stade Guy Roux de Mesnil en Thelle , dans l’Oise, avec entre autres : Alain Giresse, Robert Piresse, Olivier Dacourt, Mathieu Duhamel, Sidney Govou, Aurélien Logeais, Frédéric Piquionne, Baptiste Vendroux, Claude Puel, Steve Savidan, Florent Sinama-Pongolle, Tom Rocheteau…
- « La veuve rusée » de Carlo Goldoni aux Bouffes Parisiens, avec entre autre, Tom Leeb.
« Jouée pour la première fois à Venise en 1748, la comédie du dramaturge italien Carlo Goldoni, continue de faire rire et de surprendre !
Rosaura, une jeune, belle et riche veuve vénitienne, rencontre quatre prétendants de nationalités différentes : Milord Runebif, l’anglais, Monsieur Le Blau, le français, Don Alvaro de Castille, l’espagnol et le comte Bosco Nero, l’italien. Chacun d’eux la courtise, par l’intermédiaire de l’espiègle Arlequin.
Mais Rosaura est indécise. Aidée de sa dame de compagnie Marionnette, elle réfléchit à un stratagème pour faire son choix. Mais la surprise, comme l’amour – surtout à Venise – est toujours au coin de la rue…
La Veuve Rusée est une pure comédie, un roman d’accompagnement, une aventure captivante et bien plus encore… mais, plus que tout, c’est l’histoire d’une femme qui rêve et se bat pour sa liberté, car c’est elle qui fixe les règles ! »
- Livre « Des jeux historiques: Les plus grands moments » de l’Equipe aux éditions Solar.
NOTE DE L’EDITEUR
« Tout sur les Jeux olympiques de Paris 2024 à travers les meilleurs articles et les photos de L’Équipe.
Parenthèse enchantée, trêve olympique, l’été de tous les records… Les Jeux olympiques de Paris 2024 auront été, quasi de bout en bout, un magnifique succès sportif et populaire avec à la clé un record de 64 médailles pour la délégation française (dont seize en or, une de plus qu’à Atlanta en 1996, et largement mieux, au total, que les 43 de Pékin en 2008). Le tir groupé des sports collectifs (sept médailles pour douze équipes, féminines et masculines, de basket 3×3, de basket, foot, hand, rugby à 7, volley) témoigne de cet engouement général pour des Jeux portés d’emblée par plusieurs fortes personnalités françaises telles Antoine Dupont, premier médaillé d’or en rugby à 7, Pauline Ferrand-Prévôt, reine incontestée du VTT, Léon Marchand, cinq médailles en natation dont quatre titres, ou encore Teddy Riner sacré champion olympique pour la troisième fois en cinq participations aux JO.
La fête n’aurait pas été totale sans la renaissance de Simone Biles, trois ans après son burn-out de Tokyo, ou le record, très JO, du lutteur cubain Mijain Lopez, cinq fois médaillé d’or en cinq olympiades. Inégalé. Et que dire d’Armand Duplantis, le maître absolu de la perche, qui se paye le luxe de battre le record du monde de sa discipline à 6,25 m ? À ce niveau d’excellence, le sacre de Novak Djokovic, pour le seul titre qui lui manquait dans la galaxie tennis, devant le futur Goliath de la discipline, Carlos Alcaraz, vient donner, s’il était encore besoin, un côté unique à cette olympiade. Trop d’instants historiques pour tous les citer, trop de moments de grâce dans les sites grandioses de la capitale française, qui vont permettre à ces Jeux de rester incontestablement dans l’histoire…
Le fruit, sans doute, d’une ténacité à la française. Paris était candidate aux JO depuis la fin du xxe siècle, éconduite en 2005 (Jacques Chirac était alors président de la République), avant de triompher au bout de décennies de travail. Dans le même temps qu’à l’INSEP, l’Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance, des générations d’athlètes olympiques continuaient inlassablement d’être (bien) formés. Au final, les Jeux de Paris 2024 n’ont pas manqué leur rendez-vous avec l’histoire. Le fruit, au fond, d’une certaine logique.«