Michel et son cultissime canapé rouge reçoivent Alex Lutz, et autour d’eux: Olivier DE BENOIST, Eric ANTOINE, BEN, Frédéric MITTERRAND, Mathilda MAY, Stéphane CAILLARD, Alma JODOROWSKY, Lilly-Fleur POINTEAUX, Thierry FREMONT.
- ALEX LUTZ
Il vient de réaliser sin premier film « Le talent de mes amis » avec Alex Lutz, Tom Dingler, Bruno Sanches, Audrey Lamy, Anne Marivin, Julia Piaton, Sylvie Testud, Marc Lavoine, Catherine Hosmalin, Caroline Loeb et Jeanne Moreau…
Sortie le 6 mars
Scénario et dialogues d’Alex Lutz en collaboration avec Tom Dingler et Bruno Sanchez.
Un film dédié à « Mathilde (n.b. sa femme) et Ferdinand (son fils), mes amours, ma famille, ma prise de terre ».
Alex et Jeff sont collègues de bureau dans une multinationale… Ils sont aussi les meilleurs amis du monde depuis le lycée… Ils vivent chacun une vie de famille tranquille.
L’arrivée d’un conférencier spécialiste en « développement personnel » va les perturber et surtout va pousser Alex à réaliser ses rêves d’adolescence, au péril de son amitié avec Jeff…
La question posée : Sommes-nous tous voués à un destin exceptionnel ? Peut-on changer de destin impunément.
Par ailleurs, Alex Lutz présentera son spectacle au CHATELET du 27 avril au 2 mai prochains, et partira ensuite en TOURNEE en France.
Et bien entendu, avec Bruno Sanchez, il est tous les jours dans « Le petit journal » avec « Catherine et Liliane ».
- FREDERIC MITTERRAND
Son livre «Une adolescence » est aux éditions Robert Laffont.
Le livre retrace l’enfance et l’adolescence de son auteur de l’âge de 11 ans jusqu’à 22 ans.
La 1ère phrase du livre résume parfaitement le livre : « Je n’arrive toujours pas à choisir entre le général de Gaulle et François Mitterrand… C’est une contradiction sentimentale que je ne sais pas résoudre ».
Il rappelle : « J’ai été à la fois le neveu affectionné de tonton François et le partisan fervent du général ».
Il ajoute : « J’ai pris le parti d’aimer l’un pour mieux admirer l’autre ».
Un de ses 1ers souvenirs : il a 10 ans en 1958 et il entend la voix du général à la radio… Il est d’abord fasciné par sa voix « belle et solide ». Il apprend aussi que « tonton François (qui est Ministre à l’époque) n’est pas du tout d’accord avec le général ». Il ajoute : « De toutes façons, tonton François c’est la star de la famille ». Il écrit : « Papy dit que tonton François finira Président de la République» !
- MATHILDA MAY
Elle a conçu et mis en scène le spectacle « Open Space » au THEATRE DE PARIS , qui se joue à partir du 7 mai.
Elle l’avait déjà présenté au Théatre du Rond-Point avec beaucoup de succès…
Avec Stéphanie Barreau, Agathe Cemin, Gabriel Dermidjian, Loup-Denis Elion, Gil Galiot, Emmanuel Jeantet, Dédeine Volk-Léonovitch…
Mathilda May a aussi participé à la musique.
Il s’agit d’un spectacle totalement visuel sans texte qui montre une journée dans une entreprise (de style « petite compagnie d’assurances), de l’ouverture à la fermeture du bureau…
6 employés (3 hommes et 3 femmes) travaillent en « open space », c’est-à-dire une gigantesque salle, où les salariés travaillent les uns à côté des autres…
On y montre les contraintes de la cohabitation au quotidien, la proximité et l’enfermement…
- THIERRY FREMONT
Il joue dans « Les heures souterraines » d’après le roman de Delphine de Vigan, à partir du 12 mai au THEATRE DE PARIS avec aussi Anne Loiret. L’adaptation est d’Anne Loiret et la mise en scène d’Anne Kesler.
Le thème : le harcèlement moral dans l’entreprise… La solitude du monde moderne…
Sur scène, deux personnages qui ne se connaissent pas…
Mathilde (Anne Loiret) travaille dans une entreprise où elle victime de harcèlement moral de la part de son supérieur. Elle a l’impression que son supérieur « veut sa peau », il multiplie les vexations… Par ailleurs, elle rêve d’une histoire d’amour.
Thibault (Thierry Frémont) est un médecin urgentiste à SOS médecin… Il aime une femme mais il a l’impression que cette femme « lui échappe, se dérobe ». Par exemple, elle ne l’embrasse pas, ni le caresse… Et il en souffre… Il ne supporte plus que sa femme lui dise « merci » après l’amour ! Il dit : « Je rêve d’une femme à qui je demanderai Est-ce que tu peux m’aimer ? Avec toute ma vie fatiguée derrière moi ?… ». Il raconte aussi ses journées d’urgentiste notamment les « galères » : « ma vie c’est 60% de rhinopharyngites et 40% de solitude »….
Il sera aussi 8 et 9 mai prochain à 21h à L’HOTEL NATIONAL DES INVALIDES pour le spectacle « Ami entends-tu ? », organisé par l’association « Ami entends-tu ? ».
Le thème : « Dans un grand spectacle visuel, mettre en scène l’engagement héroïque des résistants, compagnons de la Libération, peu connus ou oubliés de la mémoire collective… Un hommage aux résistants et aux français qui ont dit non ! »
Les récitants, dont Thierry Frémont, liront notamment des lettres d’adieu des résistants… On s’attardera plus particulièrement sur l’engagement du groupe Guy Mocquet (mort à 17 ans) et 16 résistants méconnus du grand public… Ces 16 jeunes résistants sont fusillés dont le jeune Henri Fertet (16 ans).
Il y a aussi les voix de Jean Piat, Michel Galabru, Ana Girardot, Robert Hossein, Françis Huster, Bruno Solo, Jacques Weber et Salim Kechiouche, tous bénévoles…
L’ambition du projet : « Transmettre l’histoire des Résistants d’hier, comme exemple d’engagement pour la jeunesse d’aujourd’hui…. Et rappeler les valeurs qui font le ciment de notre société »…
Un extrait de la dernière lettre d’Henri Fertet à sa mère, quelques minutes avant son exécution par les Allemands : « Je meurs pour ma patrie, je veux une France libre et des français heureux ; non pas une France orgueilleuse et 1ère nation du monde. Mais une France travailleuse, laborieuse et honnête.
Que les français soit heureux, voilà l’essentiel. Dans la vie, il faut savoir cueillir le bonheur.
Pour moi, ne vous faites pas de soucis, je garde mon courage et ma belle humeur jusqu’au bout…
Les soldats viennent me chercher… Je me hâte…
Mon écriture est peut-être tremblée mais c’est parce que j’ai un petit crayon. Je n’ai pas peur de la mort, j’ai la conscience tellement tranquille.
Adieu, la mort m’appelle ; je ne veux ni bandeau, ni être attaché… Je vous embrasse tous. C’est dur quand même de mourir. Mille Baisers, Vive la France…
Excusez les fautes d’orthographe, pas le temps de de me relire. »
Signé « Un condamné à mort de 16 ans, Henri Fertet, au ciel près de Dieu ».
Henri Fertet est fusillé quelques minutes après, le 26 septembre 1943 à 7h36, avec 15 de ses jeunes camarades.
Thierry Frémont sera en compétition aux MOLIERES, lundi 27 Avril à 22h30 sur France 2 et présentés par Nicolas Bedos, dans la catégorie Meilleur comédien dans un 2nd rôle dans la pièce « Les cartes du pouvoir ».
- ALMA JODOROWSKY, LILLY-FLEUR POINTEAUX et STEPHANE CAILLARD
Elles jouent dans la série « La vie devant elles » », dont les deux premiers épisodes sont diffusée mardi 28 avril sur France 3. Les 6 épisodes sont réalisés par Gabriel Aghion.
Une série écrite par Dan Franck et Stéphane Osmont.
Avec également Sabine Haudepin, Claire Nebout, Jérome Anger, Jean-Marie Juan, Michel Scotto Di Carlo, Vladimir Consigny, Bruno Todeschini, Guy Lécluyse, Robert Plagnol, Fred Personne… entre autres.
Dans le milieu des années 70, dans la petite ville minière de Chambries, dans le Nord-Pas de Calais… Trois amis, mineurs, apprennent qu’une fosse va être fermée définitivement… Ils descendent au fond cette fosse pour une « mission mystérieuse »… Visiblement, ils veulent récupérer quelque chose… Malheureusement un coup de grisou les tue…
Ils laissent 3 familles éplorées… Ils avaient trois filles qui, elles-aussi, sont amies : Alma, Solana et Caroline…
Que vont-elles devenir ? Pourront-elles réaliser leurs rêves professionnels malgré tout ? Vont-elles réussir à faire la lumière sur les circonstances de l’accident ?
Gabriel Aghion dit : « J’ai voulu raconter la fin du 20è siècle… La fin des 30 glorieuses, l’évolution des mœurs, la désindustrialisation ».
C’est aussi une description de la vie des adolescentes vers la fin des années 80…
- LIVRES PRESENTÉS PAR MICHEL
« Un homme en fuite » de Patrick Poivre d’Arvor aux éditions Robert Laffont.
NOTE DE L’EDITEUR
« » Toute sa vie désormais, Aurélien savait qu’il aurait à lutter contre la nuit, devenue son ennemie. Chaque fois c’était le même réveil brutal, en sueur, à trois heures du matin. Le même vide poisseux, oppressant. Dans les premiers temps, il avait tenté de se rendormir, mais n’y était jamais arrivé. Lorsqu’il ne pouvait faire autrement, de guerre lasse, que de rouvrir les yeux et de fixer le plafond, le regard de l’enfant l’attendait. » Aurélien Desmaroux est un chirurgien renommé de l’hôpital de Tours. Sa spécialité : les malformations cardiaques chez les enfants. Un matin, il perd connaissance pendant une opération qui tourne mal. On découvre assez vite qu’il était sous l’emprise de l’alcool. Écrasé de honte, il se terre chez lui. Sa clinique le révoque, l’ordre des médecins le poursuit, le grand-père de l’enfant veut se venger. Aurélien Desmaroux prend peur et s’enfuit. Il devient une sorte de paria à ses yeux comme à ceux de ses semblables. Errant d’une ville à l’autre, il se réfugie dans l’alcool et traverse une longue période de solitude. Son drame devient le révélateur implacable de tous les faux-semblants sur lesquels était fondée sa vie personnelle. Jusqu’à sa rencontre avec un petit autiste… De la guérison de cet enfant dépendra sa propre rédemption. Dans ce roman à l’atmosphère simenonienne, Patrick Poivre d’Arvor fait le portrait pudique et sensible d’un homme confronté à une épreuve de vérité qui va bouleverser son existence et le révéler à lui-même. »
« En tête à tête avec Orson Wells » , conversations entre Orson Wells et Henry Jaglom aux éditions Robert Laffont.
NOTE DE L’EDITEUR
« Pendant deux ans, de 1983 à 1985, Orson Welles et Henry Jaglom ont déjeuné ensemble chaque semaine au restaurant Ma Maison, à Hollywood. Welles avait l’intention d’écrire son autobiographie à partir de ces entretiens mais il est mort avant d’avoir achevé ce travail, et les enregistrements de ces déjeuners sont restés au fond d’une boîte à chaussures pendant plus de vingt-cinq ans… Devant l’opiniâtreté de Peter Biskind, l’auteur du Nouvel Hollywood, Henry Jaglom a fini par accepter de lui confier ces cassettes, et de publier leur contenu. Ces conversations à bâtons rompus, fréquemment perturbées par des personnalités venant saluer les deux hommes ou par des considérations sur le menu, brossent une peinture très réaliste de l’homme excessif qu’était Orson Welles : un provocateur pouvant tenir les pires propos sur les femmes, sur les Irlandais et les Hongrois, sur la politique et la France, sur les acteurs…, mais également un homme d’esprit, séducteur, lucide sur son génie et son sale caractère, désabusé par l’industrie du cinéma. » Ces conversations étincellent d’intelligence, de souvenirs, d’espièglerie, et sont par-dessus tout une prouesse d’interprétation, avec Orson Welles dans le rôle d’Orson Welles. » Michael Wood » Addictif et réjouissant. » Vanity Fair »