- Film « 8 Rue de l’Humanité »
Dany Boon a réalisé et co-écrit aux côtés de Laurence Arné, son épouse, un nouveau film intitulé « 8 Rue de l’Humanité » actuellement disponible sur Netflix.
Au casting on retrouve en plus de Dany Boon et Laurence Arné, Yvan Attal, François Damiens, Tom Leeb, Alison Wheeler, Jorge Calvo , Elie Sémoun, Liliane Rovere, Nawell Madani…
« Les rues de Paris sont vides et silencieuses. Alors que certains ont préféré fuir la capitale, sept familles sont restées confinées dans un immeuble du 11ème au 8 rue de l’humanité.«
A noter que Dany Boon donnera un spectacle exceptionnel le 5 décembre prochain au profit du « Chti Fonds »
Informations sur: https://www.fondationdefrance.org/fr/fondation/le-chti-fonds
- François Berléand et Niels Arestrup
Ils jouent ensemble dans la pièce d’Isabelle Le Nouvel, mise en scène par Jérémy Lippmann, « 88 fois l’infini » actuellement aux Bouffes Parisiens.
La pièce raconte comment deux demi-frères, brouillés depuis 13 ans essayent de reprendre contact… Il y a plusieurs problèmes entre eux deux : un père très compliqué, une histoire de femme, la réussite de l’un, les secrets… Peuvent-ils se réconcilier ?
Avec, sousjacente, cette question freudienne ? Faut-il « tuer le père » ? Et si oui comment ?
- Artus et Jérémy Lopez de la Comédie Française
Ils jouent dans le film « Si on chantait » réalisé par Fabrice Maruca, avec aussi Alice Pol, Clovis Cornillac, Chantal Neuwirth, Annie Grégorio…
Sortie le 3 novembre
« Quiévrechain, ville industrielle du nord de la France. Après la fermeture de leur usine, Franck, passionné de variété française décide d’entraîner ses anciens collègues, Sophie (dont il est secrètement amoureux), José (qui chante comme une casserole), et Jean-Claude (ancien cadre un peu trop fier) dans un projet un peu fou : monter une entreprise de livraisons de chansons à domicile, SI ON CHANTAIT ! Départs en retraite, anniversaires ; à force de débrouille, ils commencent à avoir de plus en plus de demandes. Mais entre chansons, tensions et problèmes de livraisons, les fausses notes vont être dures à éviter !«
- Alex Vizorek
Il est actuellement au Théâtre de l’oeuvre avec son nouveau spectacle « Ad Vitam ».
Informations sur: https://www.alexvizorek.com/fr
- Viktor Vincent
Il a repris sa tournée, en France Suisse et Belgique avec son spectacle « Mental Circus ».
Il sera au Casino de Paris du 28 au 31 décembre.
- Prescriptions culturelles de Michel
« Y croire pour soi » de Franck Lebœuf aux éditions Courrier du Livre.
NOTE DE L’EDITEUR
« Le champion du monde 1998 Frank Leboeuf se livre et nous guide. Un livre de confidences et de considérations pour nous aider imprimer à nos existences la force et la confiance nécessaire à notre épanouissement.
Champion du Monde 1998, d’Europe des Nations 2000, des Confédérations 2001… Frank Leboeuf a fait vibrer la planète.
Toutefois, cet immense footballeur, aujourd’hui acteur de théâtre et de cinéma, a aussi connu l’opposition et l’échec. Il abat ici ses cartes et se dévoile.
Dans des pages intimes, tissées de confidences, il révèle qu’il n’était pas destiné à devenir champion. Il a pourtant relevé le défi. Les peurs, les résistances, les coups bas, les choix difficiles, la matière amère avec laquelle il faut travailler : pas après pas, il s’est construit. Et ce qu’il a réalisé, nous dit-il, chacun d’entre nous peut le réussir.
Un livre très personnel, un message de confiance et d’espoir que l’on peut définir ainsi : accepte l’échec mais ne te résigne pas, avance ! Tu as, toi aussi, le droit de vivre ton rêve…
En voici les clés.
« Reconnais tes capacités, identifie tes faiblesses, trouve tes objectifs. Je vais simplement te demander d’oser.«
« La femme qui n’aimait plus les hommes » d’Isabelle Le Nouvel aux éditions Michel Lafon.
NOTE DE L’EDITEUR
« Jeanne a tout pour être comblée : une carrière d’écrivain en pleine ascension, un mariage avec un intellectuel influent, une vie dans les beaux quartiers. Pourtant, tous ces signes extérieurs de bonheur ne font qu’occulter une réalité sordide. En ce soir d’automne, parce que son mari l’humilie une fois de plus, parce qu’il la terrorise une fois de trop, Jeanne va rassembler ce qui lui reste de forces pour s’extraire enfin de cette relation aussi toxique que violente.
Ce sursaut vital fait ressurgir en elle le souvenir d’autres violences, qu’elle n’a eu de cesse de vouloir refouler sa vie durant. Jeanne comprend qu’elle devra emprunter à rebours, et seule, le chemin plein de déni sur lequel elle avait toujours refusé de retourner. Mais la route sur laquelle elle s’engage mêlera la violence du présent à celle du passé…«
« Elle ne m’a jamais quitté » de Dominique Farrugia aux éditions Robert Laffond/versilio.
NOTE DE L’EDITEUR
» Le handicap ne scelle pas une vie, pour peu qu’on décide, à défaut de pouvoir se lever, de s’élever… «
1990, Dominique Farrugia a 28 ans. L’humoriste est au faîte de la gloire quand la maladie le frappe et vient bouleverser son quotidien.
Dans ce témoignage, il fait revivre la » grande époque » de Canal + et des Nuls mais tombe aussi le masque pour révéler l' » enfer » du décor. À ceux qui croient que notoriété rime avec facilité, il raconte son histoire, faite d’éclats de rire, de moments d’émotion, mais ponctuée de douleurs et de doutes. L’occasion de braquer les projecteurs sur les 12 millions de handicapés de France pour qu’ils soient enfin pris en compte par les politiques. Il demande à nos dirigeants de réagir pour soulager la souffrance des citoyens en situation de handicap.«
« Monsieur Bouboule » de Patrice Leconte aux éditions Artaud.
NOTE DE L’EDITEUR
« Tout a commencé le jour où je me suis rendu dans une administration fiscale, et où un volumineux employé m’a expliqué avec une patience d’ange comment remplir des imprimés auxquels je ne comprenais rien.Comme c’était bientôt l’heure de la fermeture, je lui ai proposé, pour le remercier, d’aller boire un verre au bar d’en face, ce qu’il accepta avec joie.On l’appelait Bouboule depuis l’enfance, et il ne semblait pas malheureux, malgré sa solitude et sa corpulence.Mais il finit par m’avouer qu’être aussi gros lui pesait trop, et qu’il avait pris la décision de se balancer depuis la fenêtre de son huitième étage le jour où il pèserait 180 kilos. Il en pesait alors 177.Si je n’arrivais pas à le détourner de son projet macabre, je perdrais mon nouvel ami dans 3 kilos. »Ce récit, conte cruel à l’humour permanent, fût-il noir, parle avant tout d’amitié. Car ce Monsieur Bouboule, baleine échouée dans une société moqueuse peu faite pour les gros, est infiniment attachant.«